5/01/2006

Very interesting indeed ! (le roman et le film, 2)

Ca y est, j'ai reçu The Bridesmaid ce matin, 1er mai. Il a mis à peine 2 semaines pour venir des États-Unis. La très charmante postière de mon quartier me l'a livré à domicile (le livre est gros et n'entrait pas dans ma boîte). "C'est la fille qui travaille à la poste !" s'exclame (dans le film) Patricia. Je me suis souvenu de cette réplique mais je ne veux pas imaginer qu'il puisse arriver à ma postière si mimi la même chose que ce qui arrive dans le film à Raphaëlle Pelisssier - qui s'appelle Rebecca Neave dans le roman.
La comparaison entre le roman et le film est très très interessante.
Voici la première page.





















On en reparlera, bien évidemment. Et si vous voulez essayer de traduire en français, n'hésitez pas !

2 Comments:

Blogger Jean-François MASSERON said...

Comme traduction, je proposerais cela :

La mort violente fascine les gens. Elle révulsait Philippe. Il en faisait une phobie. C'était ce qu'il appelait parfois en lui-même une phobie du meurtre et de toute forme de tuerie, de destruction délibérée de la vie pendant les guerres, ou de sa destruction absurde dans les accidents. La violence le révulsait - dans la réalité, au cinéma, dans les livres. Il y avait des années qu'il ressentait cela, quand il était enfant et que les autres enfants braquaient leurs pistolets en plastique et jouaient à la mort. Quand cela avait-il commencé et qu'est-ce que c'est qui avait commencé, il n'en savait rien. Le plus curieux est qu'il n'était pas pusillanime ni d'une morale rigoriste et qu'il n'avait ni plus ni moins peur de la mort que n'importe qui. C'était plutôt que la mort violente ne provoquait en lui ni curiosité ni attirance morbide. Il réagissait en esquivant toutes les sortes de représentations de mort violente auquelles ils pouvaient se trouver confronter.

Il n'ignorait pas que sa phobie était peu banale. Il la dissimulait - ou tentait de la dissimuler. Et quand les autres regardaient la télévision, il la regardait avec eux et ne détournait pas les yeux. Il n'avait jamais eu..

1/5/06 16:33  
Blogger Jean-François MASSERON said...

...auxquelles il pouvait (singulier) se trouver confronté (participe passé). Pardon !

1/5/06 16:56  

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